- Un brevet Microsoft montre un Surface avec 3 écrans. Découvert aujourd'hui par Patently Apple, le brevet a été déposé en juin 2020 et n'a été rendu public que le 23 décembre par l'Office américain des brevets et des marques. Décrit comme un « dispositif d'affichage multi-panneaux » avec trois écrans et deux zones de charnière, il pourrait s’agir d’un Surface Duo mais avec un écran supplémentaire d’ores et déjà baptisé « Surface Trio ». Le troisième écran serait replié à l'avant de l'appareil et permettrait aux utilisateurs d’accéder aux informations sans ouvrir le téléphone. Une innovation que l’on peut espérer voir en 2022.
- 36 satellites OneWeb en orbite. Spécialisé dans la fourniture d'accès Internet par satellite, OneWeb s'est donné pour ambition de mettre sur orbite près de 650 satellites. Pour cela, le groupe s'est donné les moyens de ses ambitions en levant en début d'année 1,4 milliard de dollars. Une somme qui lui a permis de multiplier les lancements avec dernièrement 36 satellites de plus propulsés dans l'espace. OneWeb prévoit de lancer ses premiers services commerciaux l'année prochaine, ciblant l'Alaska, le Royaume-Uni, l'Europe du Nord, le Groenland, l'Islande, les États-Unis, le Canada et les mers arctiques. Désormais, 394 satellites OneWeb ont été mis en orbite.
- Le constructeur Seres et l’équipementier Huawei lancent une auto équipée de HarmonyOS. Après la téléphonie et l’IoT, les systèmes embarqués : Huawei vient en effet de décliner son OS maison, reposant sur un noyau Linux, sur l’Aito M5, un SUV électrique avec un moteur essence pour la recharge développé avec le concours du chinois Seres à partir de son modèle SF5. HarmonyOS est associé à des puces Kirin 990A pour assurer le bon fonctionnement des instruments et des systèmes pilotés par la plateforme Smart Cockpit de Huawei. Ce dernier vient donc concurrencer des acteurs comme Nvidia, qui travaille avec le groupe VW pour les cockpits virtuels et la conduite autonome, Blackberry QNX ou encore Android Auto pour la partie tableau de bord. Huawei, qui a considérablement réduit la voilure sur le marché des smartphones pour cause de sanctions américaines, cherche à se diversifier en réutilisant des composants développés initialement pour ses activités téléphonie et informatique.
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