-ARM rabroué par Intel. Dans la tourmente et en pleine restructuration stratégique, le fondeur américain est sollicité par de nombreux fournisseurs qui se proposent de lui racheter quelques pans de ses activités. Dernier prétendant en date, le britannique Arm (détenu par le japonais Softbank) qui aurait bien mis la main sur sa branche produits selon Bloomberg. Une proposition rejetée par Intel qui lui aurait déclaré que la société n'était pas à vendre.
-Failles dans le système d'impression Linux. OpenPrinting Common Unix Printing System (CUPS) utilisé dans les systèmes Linux pour imprimer est touché par plusieurs vulnérabilités Celles-ci ouvre la voie à de l'exécution de commandes à distance dans certaines conditions. « Un attaquant distant non authentifié peut remplacer discrètement les URL IPP des imprimantes existantes (ou en installer de nouvelles) par une URL malveillante, ce qui entraîne l'exécution de commandes arbitraires (sur l'ordinateur) lorsqu'un travail d'impression est lancé (à partir de cet ordinateur) », a prévenu le chercheur en sécurité Simone Margaritelli. Pour se protéger, les utilisateurs peuvent désactiver/désinstaller le service CUPS ou bien mettre à jour ce package.
-Air France s’associe à Starlink. La compagnie aérienne française va proposer du WiFi gratuit à bord de ses appareils grâce à la connexion satellitaire de Starlink. Les voyageurs pourront se connecter dès l’été 2025 avec leur compte Flying Blue, le programme de fidélité de la société. Comme l’indique nos confrères des Echos, le système Starlink se contente d'une antenne fixe et ne nécessite pas la pose d'une antenne mobile. L’avantage est donc de garder l’aérodynamisme de l’avion et de ne pas impacter la consommation de carburant. Le débits annoncés sont théoriquement de 500 Mbt/s. A noter que la couverture des satellites en orbite basse de Starlink ne couvre pas tous les territoires, soit par manque de satellite, soit par l’embargo des Etats-Unis sur certains pays.
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