Peu après son lancement, la plateforme suscite des inquiétudes quant à la gestion et au stockage des données personnelles,potentiellement accessibles aux autorités chinoises. Tandis que certains y voient une menace pour la sécurité nationale, d’autres redoutent des fuites d’informations sensibles. Si des pays comme l’Italie, la Corée du Sud ou Taïwan ont déjà coupé son accès, la France adopte une approche plus mesurée. Pour Paul-Olivier Gibert, président de...