La cybersécurité reste bien sûr une préoccupation constante dans les entreprises mais, face aux évolutions des techniques des cybercriminels, la plupart des organisations peine à suivre. C'est ce que révèle une étude mondiale réalisée par l'éditeur Vectra AI. Ainsi, 74 % des répondants ont admis avoir connu sur l'année écoulée un incident de sécurité ayant nécessité une réponse spécifique et 92 % avouent ressentir une pression accrue pour protéger leur entreprise des cyberattaques. Mais 87 % des répondants peuvent se réjouir que les récentes attaques très médiatisées ont amené les directions à davantage se préoccuper de la cybersécurité.
Face aux évolutions des cybermenaces, les entreprises se sentent pourtant démunies ou, en tous cas, pas nécessairement prêtes. Ainsi, 83 % des répondants reconnaissent que les approches traditionnelles ne protègent pas contre les menaces modernes, 71 % considérant même que les cybercriminels dépassent les outils actuels dont ils disposent et que l'innovation en matière de sécurité a des années de retard sur celle des pirates. Logiquement, 71 % estiment également que leurs outils et pratiques de sécurité ne suivent pas les évolutions des outils et pratiques des pirates. Une autre difficulté est la pénurie de compétences qui pousse à abandonner l'approche « tout-en-un ».
Outiller n'est pas jouer
Le manque de confiance des décideurs IT dans leurs outils et pratiques a des fondements parfaitement justifiés. Par exemple, 79 % déclarent avoir acheté des outils qui ont échoué au moins une fois, soit à cause d'une mauvaise intégration, soit par incapacité à détecter les attaques modernes, soit encore par manque de visibilité. Malgré ces manquements, 83 % des répondants regrettent que les décisions prises par les entreprises sont trop fortement influencées par les fournisseurs actuels de solutions de sécurité. De ce fait, 72 % jugent de ce fait possible d'avoir été victimes d'une violation sans s'en être aperçu, 43 % allant même jusqu'à considérer cette hypothèse comme probable.
Suffit de cloisonner le traitement des données pour éviter des fuites "fâcheuse" cloisonner c'est la recette miracle pour tout ^^
Signaler un abusLe rgpd est tombé pile au bon moment pour taper sur les doigts des victimes ; car sans les cybercriminels des millions d'euros auraient pu être économisés par tant d'exemple ... C'est très français ça d'imposer un cadre qu'on ne maîtrise pas ... Et oui en cas de déboires de cet ordre de 1 vous êtes seuls de 2 si le problème est médiatiser la CNIL se fera un plaisir de s'intéresser au problème pour récupérer des ronds ; alors dire que le rgpd a tant apporté de bien que ça c'est discutable ... Ça donne une jolie façade alors qu'en fait ça n'a rien de très joli ... Y a un terme pour ça ...
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