Tous les ans, la question du budget reste le drame du DSI. Il faut réduire les coûts, ou, du moins, les optimiser. Dans le même temps, les fournisseurs ne pensent qu'à développer leur chiffre d'affaires, parfois avec des audits de licence agressifs. Et la bascule vers le cloud recèle parfois des surprises : les faibles coûts de stockage sont associés à des coûts de calcul ou de transit de données parfois mal anticipés. Pour faire le point sur les meilleures pratiques pour optimiser son budget IT, CIO organise une conférence « Le DSI, de cost killer à FinOps - Optimiser les budgets et les niveaux de service » le 24 septembre 2019 à Paris. S'informer sur les détails de cette conférence et s'inscrire (200 crédits offerts aux présents disposant d'un compte CIO).
Concrètement, le DSI doit devenir un « FinOps », un spécialiste de l'optimisation des architectures IT en fonction des offres proposées par les différents fournisseurs, notamment cloud, ou bien disposer d'un spécialiste apportant à sa direction cette compétence. Il lui faut également maîtriser son parc logiciel et matériel afin d'éviter les mauvaises surprises, notamment en cas d'audit agressif de licences. La maintenance étant un poste important de dépenses, le DSI doit être vigilant et être prêt, le cas échéant, à recourir à des prestataires alternatifs. Enfin, à l'heure de l'ubiquité et du cloud, la sollicitation de la bande passante peut être importante, poussant à une surenchère coûteuse.
Mais il n'y a pas de fatalité. Le DSI doit se préparer et adopter les bonnes pratiques pour ne pas être l'otage de ses fournisseurs. Et être ainsi un vrai apporteur de valeur au business de son entreprise.
Commentaire