En avril 2016, Microsoft avait remporté un bras de fer face au ministére américain de la Justice qui lui demandait de produire les e-mails d’utilisateurs stockés sur des serveurs situés en Irlande, dans le cadre d’une enquête liée à un trafic de drogue. A l’époque, l’éditeur de Redmond avait avancé qu’il s’agissait d’une saisie à l’étranger et obtenu gain de cause en faisant valoir les lois européennes sur la protection des données. L’histoire se renouvelle avec Google. Un juge américain vient de demander à la firme de Mountain View de lui remettre des emails stockés sur des serveurs à l’étranger, à la suite d’un mandat de perquisition du FBI, dans le cadre de deux enquêtes criminelles.
Le juge Thomas J. Rueter, du tribunal du District est de l'Etat de Pennsylvanie, avance d'autres arguments, ainsi que le rapporte l'agence de presse Reuters. Selon lui, transférer les données électroniquement d’un serveur situé dans un autre pays vers le datacenter californien de Google ne s’apparente pas à une saisie à l’étranger, l’atteinte à la vie privée intervenant au moment de la divulgation des données aux Etats-Unis et pas lorsque celles-ci sont transférées. Il ajoute que Google transfère régulièrement des données d’un datacenter à l’autre sans que ses clients le sachent. Dans un communiqué, la firme californienne a indiqué qu’elle compte faire appel de la décision.
Oui grace soit rendue à Micro$oft, gentille firme qui ayant rendu la micro-informatique aussi commune que l'ampoule électrique, s'attaque maintenant aux problèmes liés aux brevets. Charmant, on dirait la lutte ancienne entre Edison et Tesla, le premier utilisant les découvertes du second pour sont seul profit sans aucune compensation.
Signaler un abusMicro$oft est fondée sur la copie d'un système ancien DR-Dos, que Gates modifia, et surtout en le vendant, il lia les acheteurs avec un système de licence restrictive, à l'image de ce que font les assurances. Obligeant l'utilisateur, qui pourtant achète le produit, à ne pouvoir en vérifier la fiabilité.
Ce système va juste permettre de renforcer encore le 'vol de la pensée', au seul profit des industriels déjà trop fortunés, et peu enclins au partage.
Youpi, vive le vol et que meurent les honnêtes.
Les états - unis utilisent tous les moyens por controler les donnés d'internet, parce que ça vaut des millions pour les entreprises américaines. Le prétexte est toujour la recherche de terroristes, mais pour ça ils doivent rechercher chez eux - mêmes, parce que les vrais terroristes sont trump, le parti républicain, le nra, les fabricants d'armement, les supremacistes, les racistes, kkk, etc. etc. etc.
Signaler un abus2 comportements du à la mondialisation d'une part et à l'impérialisme décadent/triomphant de la puissance américaine.
Signaler un abusLa question est que vaut note vie prie "Privacy life" au yeux des puissances dans la soit disant lutte contre le terrorisme !!!