CA met son offre d'administration à l'heure de la virtualisation. La clef de voûte en est Data Center Automation Manager 11.2 auquel s'ajoutent neuf autres outils d'automatisation des tâches d'administration de l'infrastructure, des performances des applications et des services. Vendu plus de 150 000$, Data Center Automation Manager (DCAM) s'appuie sur un moteur de règles qui, selon CA, gère les machines virtuelles tant actives qu'en sommeil et les ressources systèmes afférentes. En s'appuyant sur CA CMDB (Configuration Management Database), il peut évaluer les ressources disponibles et les allouer. DCAM s'interface avec CA AutoSys Workload Automation, CA NSM 11,2 (CA Unicenter Network and Systems Management), CA Service Desk, et avec CA Wily APM. CA, qui s'affiche en fournisseur des plus grands comptes, veut se différencier de ses concurrents par l'éclectisme de son offre s'étendant du poste client au grand système. Pour les spécialistes de l'administration de systèmes, la virtualisation est un enjeu vital. A plus ou moins long terme, ils devront proposer des outils pour piloter, surveiller, gérer et administrer des VM en environnements multiples. C'est la raison pour laquelle tous se lancent dans des annonces sur le sujet. Outre celles de CA, les dernières en date sont celles de BMC et de Hewlett-Packard. Ils doivent aussi compter sur les velléités de VMware et de Microsoft ainsi que sur celles d'éditeurs spécialistes de la virtualisation comme Vizioncore ou le Français Systar.
CA se pose en gestionnaire de la virtualisation
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Data Center Automation Manager est l'occasion pour ce spécialiste de l'administration des systèmes d'information de réaffirmer son éclectisme.
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