Les « nouvelles données », caractéristiques du Big Data, signent le V « variété » des 3 V (Volume, Variété, Vélocité). Ce « V » comporte les contributions aux réseaux sociaux, les logs de sites web, les vidéos, les fichiers audios, les mesures issues de capteurs, etc. D'après une étude menée par le cabinet OnePoll, les entreprises françaises et allemandes les intègrent davantage que leurs homologues britanniques. Ainsi, 48% des entreprises françaises et allemandes utilisent au moins trois sortes différentes de ces nouvelles données contre seulement 20% au Royaume-Uni. Les données issues des médias sociaux sont considérées comme prioritaires par 44% au Royaume-Uni, 35% en France et 22% au Royaume-Uni. Le volume est devenu un défi pour 42% des Britanniques contre 35% pour les Français et les Allemands.
Rapidité et précision
Deux avantages sont reconnus à ces nouvelles données : gagner en précision (France : 27% en font leur priorité, 33% au Royaaume-Uni et 41% en Allemagne) et gaagner en rapidité (56% en Allemagne, 34% en France et 28% au Royaume-Uni). Par ailleurs, 57% des répondants français et allemands ont comme objectif de gagner en productivité grâce au Big Data contre seulement 24% au Royaume-Uni. 54% des répondants français et 62% des allemands estiment que ces données leur permettent de déployer leurs projets innovants plus efficacement. En Grande-Bretagne, le point fort est l'accélération des tâches existantes et il ne rassemble que 38% des répondants.
Malgré cela, un quart des britanniques s'estiment novateurs et en avance sur leur marché contre un chiffre similaire en France et seulement 17% en Allemagne.
Big data : Les entreprises françaises ont soif de productivité
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Une étude menée par le cabinet OnePoll pour le compte de Teradata montre que la variété et le volume de données traitées sont plus importantes dans les entreprises françaises et allemandes qu'en Grande-Bretagne.
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