Suite aux événements du 13 novembre, la Mairie de Paris a décidé d’organiser du 15 au 17 janvier 2016 un hackathon sécurité baptisé Nec Mergitur – c’est aussi le nom d’un blog sur l’activité sociale et culturelle de la ville - pour rebondir sur la devise de la ville « Fluctuat nec mergitur », rappelant la capacité de résilience de la cité. Le thème principal de ce hackathon sécurité portera sur les solutions IT susceptibles de prévenir ou gérer les crises comme les attentats du 13 novembre.
Très en retard sur les questions numériques, il suffit de regarder le peu de hotspots WiFi public disponibles dans la capitale (à quand un #ParisWiFi comme à SF), le retard dans l'open data (avec des données à jour), les démarches en ligne ou la couverture 4G dans le métro, les services de la ville tentent de rattraper le temps perdu et ont donc décidé d’appliquer un verni technologique à la belle endormie. Pour l’occasion, les habituelles start-ups parisiennes, géants américain du web en quête de rédemption fiscale et développeurs du web français se sont associés au projet qui se déroulera bien sûr à l’école 42 de Paris. Les étudiants, les startupers, les free-lances mais aussi les sans emplois sont invités à participer à cette initiative pilotée par Jean-Pierre Missika, adjoint au maire de Paris.
Effectivement Paris a peux-être un léger retard sur le déploiement des Hots spots publics, mais comparer à SF est un peu absurde : à SF les abonnements internet (que ce soit fixe ou mobile) ne sont pas aussi illimités et beaucoup (beaucoup) plus chers qu'en France > la demande n'est donc pas la même !
Signaler un abus