La Commission européenne compte un nouvel allié - de poids - dans la procédure qu'elle a ouverte à l'encontre de Microsoft. L'éditeur est mis en cause pour la position dominante dont il profiterait grâce à l'inclusion d'Internet Explorer dans Windows. Bruxelles, qui n'en est encore qu'au stade de l'enquête, vient d'accueillir à ses côté l'Ecis, le Comité européen pour les systèmes interopérables, qui compte parmi ses membres des grands noms de l'IT comme Oracle, Sun et IBM. Le groupement a suivi la voie tracée par Mozilla, Google et la Free Software Foundation qui, il y a quelques semaines, ont souhaité se mettre au service de l'exécutif européen afin d'apporter leur expertise dans l'examen du dossier monté contre Microsoft. Qu'il s'agisse de l'Ecis, de Mozilla, de Google ou de la FSF, aucun ne prendra néanmoins place sur le banc des demandeurs, ce privilège revenant à Opera. C'est l'éditeur norvégien du navigateur éponyme qui est en effet à l'origine de l'affaire, après la plainte qu'il a déposée contre Microsoft en 2007. Les autres éditeurs ralliés ultérieurement n'interviennent qu'en tant que tierces parties. Par ailleurs, l'éditeur mis en cause indique avoir obtenu un délai supplémentaire pour répondre aux accusations portées à son encontre. Alors que la Commission européenne avait fixé la date limite au 21 avril, Redmond pourra peaufiner sa missive jusqu'au 28.
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