Presque aussi lent que Microsoft, Intel a enfin rétorqué aux accusations de pratiques anticoncurrentielles de la Commission européenne. Elle a découvert qu'Intel avait, entre autres, vendu ses processeurs à perte et arrosé les constructeurs de micros pour qu'ils retardent la sortie de machines à base de processeurs AMD. Intel a demandé deux reports pour produire une réponse qu'un de ses porte-paroles juge lui-même très dense. Dans ce type de dossier, similaire à celui du cas de Microsoft, le premier objectif est de gagner le plus de temps possible.