Les entreprises parisiennes, comme le secteur public, constatent une difficulté à recruter dans les métiers du développement informatique. Partant de ce constat, la Ville de Paris a décidé d’ouvrir « Paris Code », une école du numérique qui formera à terme plusieurs milliers de développeurs et de codeurs informatiques. Doté d’1M€, ce dispositif s’est en effet fixé pour objectif de former 2 000 développeurs par an d’ici à 2020. Son ambition est de permettre prioritairement aux jeunes décrocheurs scolaires ou universitaires, aux seniors en reconversion, ainsi qu’aux femmes - sous-représentées dans ces métiers - et aux habitants des quartiers populaires, d’accéder à des contenus aux pédagogies adaptées aux méthodes de travail du numérique.
A ce titre, deux appels à projet seront lancés. Le premier vise les organismes de formation pour leur permettre de développer leurs capacités d’apprentissage dans les métiers du code. Le second appel est ouvert aux entreprises qui souhaiteraient devenir partenaires du programme, et ainsi participer à l’effort de formation du secteur. En avril dernier, la Ville de Paris annonçait avoir financé deux écoles d’informatique, Webforce3 et la Fondation Simplon pour permettre à des publics en difficulté de bénéficier de formations axées sur le développement informatique.
Je suis considéré comme senior (55ans)
Signaler un abusL'électronique et l'informatique on de tout temps été une passion, le langage C, Java et même des plus anciens type assembleur je connais ; de plus je suis ingénieur en électronique et informatique de formation. Je n’ai pas de problèmes d’expérience, de QI, ni de comportement étant de plus très sociable.
Je me suis retrouvé au chômage après le dépôt de bilan de l'entreprise qui m’employait
Je n’ai pas retrouvé de travail dans mon secteur professionnel, les raisons : trop vieux, surqualifié, vous allez vous ennuyer, trop cher alors que nous n’avions même pas évoqué de salaire, etc….
Donc ces idées ne paraissent particulièrement saugrenues, employez déjà les ressources disponibles qui ne cherchent qu’a travailler !!!
Je ne partage pas les réactions hostiles, voire arrogantes. D'une part parce qu'il y a programmation et programmation. C'est sûr que pour développer un serveur ou implémenter un algorithme de chiffrement, il est préférable d'avoir le sens du code, et de bonnes bases mathématiques. Mais pour enrichir un site web, voire développer quelques petites applications à visée bureautiques, éventuellement concevoir des états ou des écrans dans des environnements de développement conviviaux, il n'y a pas besoin d'être un petit génie du C ou de Java... Il faut de tout pour faire un monde, et tous profils de développeurs pour coder un SI. Viser à féminiser la profession est également une très bonne choser.
Signaler un abusQuant au télétravail, non seulement il se développe bien, mais parmi les plus grosses SSII, au moins une le requiert (2 à 3 jours par semaine)...
tout est dit les gars ... mais je vais en remettre une couche .... entièrement daccord avec vous ... même si il aura le gars ou la fille qui se sortira par le haut avec ce système ... imaginons faire la même chose avec le sport ... prenons des gens en échec sportif et formons les à un sport de haut niveau ... bon ... on est à côté de la plaque ... enfin tant qu'on ne nous empêche pas de respirer parce qu'on expire du CO2 ... tout va bien ... mais ça ne devrait pas durer ... normalement on devrait nous faire porter un masque pour traiter ce qu'on expire ^^ encore un effort ... et on sera bientot tous mort ...
Signaler un abusPour coder et faire des programmes rapides et fiables il faut avoir un certains nombre de qualités intellectuelles.
Signaler un abusJ'en ai trop vu coller du code dans du code sans comprendre ce qu'ils faisaient , et croiser les doigts pour espérer que ça marche!!
Tiens ! Les politiques viennent de s'apercevoir que le numérique existait ! Encore 15 ans avant qu'ils prennent les décisions nécessaires ! Encore 15 ans avant qu'on crée la formation continue correctement rémunérée pour que les gens se forment en permanence comme dans les pays nordiques...Pendant ce temps là en France, on fabrique que des élus !
Signaler un abusPardon de le dire, mais programmer demande quand même un certain QI et une certaine expérience cumulée. Le scratch, c'est gentil pour apprendre quelques structures de base au collège, mais on ne peut pas transformer un non passionné, quelque soit son statut social de base, en un dév expérimenté. L'investissement en temps n'a rien à voir avec les autres métiers. Les 35h, vous pouvez vous les carrer vite fait...
Signaler un abusEn outre, la France ne manque pas de dévs. Mais tant que nos SSII et EDN joueront les boîtes d'interim pour ingénieurs, en arnaquant les candidats sur les salaires ou en les pressant comme des citrons jusqu'au burn out, pas la peine de s'étonner qu'elles aient du mal à recruter du pigeon...
Et quid de la flexibilité du travail à distance ? On a un ADSL rapide dans nombre de lieux, mais les charlots en place ne veulent toujours pas d'ingénieurs "à distance". Pourtant de nombreux corps de métier fonctionnent aujourd'hui en télétravail - alors pourquoi les boîtes en place sont elles incapables de faire de même ?
Le fait est le management en France à 20 ans de retard comme toujours, et ne tient pas compte des réalités. Ce nouvel article rentre tout à fait dans la catégorie des grandes illusions entretenues : celle d'employeurs restés coincés aux années 90 !
Tiens ! Les politiques viennent de s'apercevoir que le numérique existait ! Encore 15 ans avant qu'ils prennent les décisions nécessaires ! Encore 15 ans avant qu'on crée la formation continue correctement rémunérée pour que les gens se forment en permanence comme dans les pays nordiques...Pendant ce temps là en France, on fabrique que des élus !
Signaler un abusAux US les codeurs sortent du MIT, en france de l'échec scolaire. Nous avons un réel problème de perception de la valeur de la programmation et des métiers de l'informatique. Il ne faut pas s'étonner que les géants du Web ne sont pas français. Google ne recrute que les meilleurs. Ici on peut croire que l'on peut faire du bon avec du pire...
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